Textes du concours UNIQUEMENT

Un Amour Impossible Désormais

Si mon poème vous fait penser à du slam ou du rap, c'est normal, j'ai beaucoup
de mal à me tirer l'esprit malsaint et vulgaire qui hante nos rues...



Perdu dans mes pensées, je m'éloigne.
Perdu dans mes souvenirs, je t'épargne.
Perdu dans ma vie, je me retrouve seul.
Perdu dans ma tête, je reste sur le seuil.

On était bien tout les deux,
Mais le destin en a voulu autrement.
On était bien tout les deux,
Je ne voit plus les choses comme avant.

Amour en flèche, on allait à fond.
Amour en flèche, on étais jeunes et cons.
Amour en flèche, il a fallut qu'on sorte.
Amour en flèche, c'est les mauvais qui s'en sortent.

Il fallu qu'on aille dans cette boîte.
Il a fallu que je ne t'écoute pas.
Il a fallu que je boive dans cette boîte.
J'aurais dû mieux m'occuper de toi.

Quatre heures du matin, torchés.
Quatre heures du matin, j'conduisait.
Quatre heure du matin, mes yeux se fermaient.
Quatre heures du matin, j'avais pas vu que t'étais pas montée.
Quatre heure du matin, il m'a fallu démarrer,
Et à quatre heures du matin, c'est cet enfoiré qui t'as fauché.

Il a eu beau descendre et s'excuser, tu n'entendais pas
Il a eu beau descendre et s'excuser, a cause de lui tu n'es plus là.
Il a eu beau descendre et s'excuser, les pompiers étaient là,
Il a eu beau descendre et s'excuser, moi, j'te reverrai pas.

Au tribunal, on a écopé,
Au tribunal, il l'ont relâché.
Au tribunal, oui j'ai pleuré,
Car c'est l'amour de ma vie qu'on vient de me retirer.

Maintenant je ne suis plus bon qu'a venir te parler,
Que sur une pierre ou il y a juste ton nom de gravé.
Sache que même là ou tu es, jamais je ne t'oublierai,
Nous ne vivons plus qu'un amour impossible désormais
Et je te jure que ce mec, il va me le payer.

Je n'ai pas vraiment envie de donner de titre a ce poème, et ca n'a pas grand intérêt ^^' bonne lecture


Comment peux-tu réfuter
Que jusqu'à aujourd'hui tu n'aies
Absolument rien fait pour moi
Alors que je te tendais les bras

Comment une personne forteresse d'un cœur
Peut-elle regarder de haut un simple château
Ne demandant qu'à grandir et à lui ressembler
Au point de lui laisser croire qu'il ne doit exister

Si devant cette humanité
Tu ne peux que regarder et oublier
C'est que comme elle qui mon enfance m’a volé
Dans la disgrâce tu m’as jeté

Maintenant je vis inconstant
Pleurant la nuit tout le temps
Au fond de mon cœur ce trou béant
Crache sur ces yeux qu'il déteste tant

Regarde-moi ne vois-tu pas
Que dans mon regard rien ne va
Depuis ce jour où seul tu m'as laissé
Me donnant comme raison qu'il te baisait

Si en un dieu quelconque tu crois
Alors maintenant il le faut repens-toi
Car le moment venu où de toi je me vengerai
Simple envie de te voir souffrir et payer

Il sera trop tard

Je ne sais quoi écrire, sur ce bout de papier
De mes pleurs à mes rires, je ne suis inspirée
Je ne dispose de rien, en ce soir de Septembre
Pour vous dire ô combien, je suis seule dans ma chambre
Comme un cheval de bois, qu'on aurait oublié
Dans ce monde sans foi, dans lequel je suis née
Il ne vous faut juger, un manque d'inspiration
Je n'ai rien à vous dire, et j'en suis désolée.

Ce "poème" parle de lui même.
Il se trouve que...je vais bien...et j'ai du mal à écrire dans ce cas...(ça c'est balot! )!
M'enfin, se serait sarcastique de vous dire..."désolée d'aller bien!" hiii